Avec un humour mordant, Benoit Dutrizac nous emmène dans l’enfer des fanatiques et nous présente le troisième volet de sa série de polars urbains décapants.
À la suite de propos controversés, notre journaliste fort en gueule, Kafka Kalmar, se fait enlever et battre par des extrémistes religieux. Afin d’éviter que des événements similaires ne se reproduisent, il décide de démissionner et de se censurer. Kafka Kalmar saisit alors avec ironie le plus grand paradoxe auquel un journaliste peut être confronté : la perte de la liberté d’expression dans une société dite démocratique et ouverte sur le monde.